(312 mots) Je connaissais le fameux nom de famille à partir de deux syllabes dès mon enfance, même avant l'école, on me parlait constamment des mérites du grand poète. À l’école aussi, j’ai seulement entendu parler du travail de Pouchkine, il semblait que ceux qui l’entouraient le louaient tellement, comme s’il ne parlait plus de personne! Si un poète préféré, alors la première association est Alexandre Sergeyevich Pushkin! Et ils vous diront de nommer dix de ses œuvres, donc vous ne vous en souviendrez pas tout de suite. Au début, mon attitude envers lui était très controversée: j'ai compris qu'il était digne de respect et de vénération, mais il m'était difficile de le pénétrer personnellement. Il semblait que «Pouchkine» était un monument, il était tellement génial, et tout le monde en disait tellement qu'il était élevé à des hauteurs inaccessibles. Étrange, mais il me semblait «inexistant», c'est-à-dire, bien sûr, j'ai compris qu'un si grand écrivain était entré dans l'histoire, mais j'ai commencé à voir en lui une figure à laquelle on accordait trop d'attention. Un travailleur, pas une personne.
Cependant, j'ai pris connaissance de la biographie du poète. J'ai appris, disons, le diable en mathématiques, son esprit et vingt-neuf duels ont fait naître l'idée que le grand Pouchkine était un vrai râteau. Instantanément du travailleur, il a été transformé en homme, car il est comme nous! Au fait, il est nécessaire de gagner ainsi l'amour des enfants pour Pouchkine. Ce n'est qu'après cela que j'ai pu apprécier son travail.
Surtout, j'ai été frappé par la capacité de Pouchkine à se réincarner et à se réaliser dans différents genres et directions. Finalement, j’ai réalisé qu’il était impossible de ne pas aimer Pouchkine pour ses merveilleux poèmes («Je t’aimais», «Je me souviens d’un moment merveilleux», «Nounou», «Pour Chaadaev»). Il est difficile de rester indifférent à ses poèmes. Par exemple, dans The Bronze Horseman, l'auteur soulève si habilement le problème des relations entre l'État et le «petit homme», que pour le pauvre Eugène son cœur lui fait mal. Les contes de Pouchkine incitent à croire aux miracles, et l'histoire "Queen of Spades" fait même peur à ses éléments mystiques. Eh bien, bien sûr, "Eugene Onegin" mérite un compliment séparé, et la manière de l'auteur est si élégante pour raconter une triste histoire d'amour, et dans les intervalles entre ses vicissitudes, pour révéler toute l'essence de la vie russe.